Recherche par auteur : Garner, James Finn
3 résultats.
Lu par : Marie-Christine Mével
Durée : 2h. 17min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 71254
Résumé:Les contes de Noël sont farcis de valeurs morales qui donnent une légitimité à un stéréotype majeur : le père Noël, patriarche bonasse qui utilise des animaux sauvages pour son usage personnel... James Finn Garner réécrit ces contes sur le mode politiquement correct ! Connaissez-vous l'histoire de Glagla, la personne de neige faite par un frère et une soeur ? Ils viennent de poser une petite boule de neige sur une grosse, des cailloux pour les yeux, des branches pour les bras... et ils se disputent ! Bonhomme ou " bonnefemme " de neige ? Glagla s'anime, les calme, leur explique qu'attributs et identité sont deux choses distinctes..
De plus en plus politiquement correct: nouveaux contes d'autrefois pour lecteurs d'aujourd'hui
Garner, James Finn
Lu par : Dorys Pong
Durée : 1h. 56min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 12787
Résumé:Après le succès époustouflant de "Politiquement correct", James Finn Garner poursuit sa croisade pour délivrer les contes classiques des préjugés révolus et malsains - sexisme, âgisme, mais aussi lookisme, spécisme, environnementalisme -, qui ont empoisonné tant de générations. Désormais les enfants sont des pré-adultes , les vieillards des personnes temporellement avancées . La Belle au bois dormant une personne endormie plus belle que la moyenne , le bûcheron d'Hansel et Gretel un exterminateur d'arbres . Et tant pis pour le héros du Chat botté s'il néglige les conseils en communication de son animal ! Ce comportement frileux et rétrograde lui vaudra de s'étioler sur un siège de sénateur, quand il pouvait viser la présidence des Etats-Unis... Huit contes et fables universellement connus, enfin adaptés au lecteur évolué de notre temps !
Lu par : Marie-Louise Bardet
Durée : 1h. 55min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 71591
Résumé:Aveuglés par d'absurdes partis pris rétrogrades, nous avons mal compris le Petit Chaperon rouge. Quand le loup lui demande : "Tu n'as pas peur de te promener ainsi toute seule ?" elle se rend parfaitement compte du caractère honteusement sexiste de la remarque. La prend-on pour quelqu'un de mentalement désavantagé ? Simplement, elle répond poliment parce qu'elle tient compte du fait que le loup lui-même, rejeté depuis des siècles par la morgue des "animaux humains", a droit à la considération que méritent toutes les victimes des oppresseurs. D'ailleurs un peu plus tard, chez la Mère-Grand, quand elle se battra avec lui et que voudra intervenir un technicien sylvestre qui passait par là (traduisez : un bûcheron ; et ajoutez : indélicat envers les bûches qui, elles aussi, ont droit au respect), elle enverra paître ce représentant honni du machisme blanc : les minorités n'ont besoin de personne pour régler leurs comptes. Voulez-vous d'autres exemples qui vous aideront à lire ou relire les contes de fées ? Les mauvaises soeurs de Cendrillon ne sont pas des laiderons (ignoble considération phallocrate) mais des jeunes personnes devant relever un défi esthétique. Blanche-Neige n'est pas entourée des sept nains, mais de sept compagnons à la verticalité contrariée..